SUR LE SITE DE LA COMEDIE DE DANSE SEMENCE D’AMOUR
Semence d’Amour est une comédie de danse dans la nature. La réalisatrice Anne Laure, avant tout une plasticienne, a assemblé les scènes comme les tableaux vivants d’une exposition autour du thème des éléments de la nature. Une centaine de danseurs professionnels et amateurs sont venus participer bénévolement à ce projet pour la Terre. Les performances, dansées au gré des saisons, nous emmènent à travers sa caméra, dans une promenade jonchée de ruisseaux, clairières et sous-bois. La poésie des images témoigne que nous sommes tous entrelacés aux éléments de la nature: ils nous constituent et nos pensées sont de puissantes énergies qui influencent notre environnement. Anne Laure dédicace ce film à Annick de Souzenelle et Pierre Rabhi.
«Dans Semence d’Amour, les danses à même la nature jettent sur nous des dentelles tissées de rayons lunaires, tant elles sont sensuelles et légères. Au fil des scènes, nos rêches habits de hâte et de rendez-vous s’envolent. Et une suave sauvagerie nous respire, pendant que la caméra s’engouffre dans le vertige vert des frondaisons, caresse du bout des doigts mousses et écorces, s’imbibe de ramages irisés. Ou rase, calme, les prés, en humant les rythmes et les sucs fabuleux que célèbrent les pieds nus des danseurs. Avec eux, enlacer notre cœur à la danse éternelle du feu, des eaux et des vents. Le bercer dans l’infini baiser de notre Mère Terre. Veiller, à rêves déployés.»
Cesare Mongodi
Lausanne mai 2015
«C’est à une balade au cœur de la nature que nous convie le film « Semence d’Amour ». Ou plutôt une ballade, puisqu’il nous y emmène à travers la danse et le mouvement. Au fil des saisons, hommes et femmes s’amusent à animer une grande fresque colorée, suite de tableaux enchantés invitant au rêve et à la méditation. A l’écoute des rythmes intimes de la terre, et dans une communion sensuelle avec les éléments, les danseurs célèbrent la beauté sauvage de la nature. Comme un poème sans paroles ce film nous offre, simplement, l’espace et le temps de retrouver notre lien primordial avec les arbres, l’eau, le vent, le feu… la vie!»
Lausanne novembre 2014
Emmanuelle Boss